Plus d’1 Français sur 4 envisagent d’acheter une résidence secondaire
Effet post-confinement ou besoin de se ressourcer : selon un récent sondage, plus d’1 Français sur 4 indiquent souhaiter acquérir une résidence secondaire. Qui sont-ils, où veulent-ils poser leurs valises et pour quel budget ?
Résidence secondaire : près de 3 candidats sur 10 ont moins de 40 ans
Le confinement a changé bien des habitudes des Français, qui ont été amenés à repenser leur façon de vivre. Selon un récent sondage effectué en juin 2020 auprès de 3.950 personnes par le réseau immobilier Orpi, plus d’1 Français sur 4 déclarent souhaiter acquérir une résidence secondaire. Parmi eux, un quart (24%) sont locataires de leur résidence principale.
Information intéressante révélée par ce sondage : les candidats à l’acquisition d’une résidence secondaire sont de plus en plus jeunes : 28% d’entre eux sont âgés de moins de 39 ans, et 11% ont moins de 30 ans. D’après Christine Fumagalli, présidente d’Orpi, « les Français sont désormais plus sensibles à la qualité de leur cadre de vie. L’expérience du confinement leur a permis de réévaluer leurs priorités » peut-on lire sur le site franchisedirecte.
Résidence secondaire rime avec bord de mer
Où se situe la résidence secondaire idéale ? D’après le sondage, le bord de mer arrive en tête. Plus de la moitié des potentiels acquéreurs (54%) ont déclaré souhaiter s’établir au bord de la mer. La campagne séduit quant à elle 25% des personnes interrogées, la montagne 11% et la ville, 10%. « L’usage que feront probablement ces nouveaux acheteurs est bien plus qu’une maison de vacances. On la choisie à proximité de sa résidence principale pour s’y rendre beaucoup plus fréquemment, et pourquoi pas y télétravailler occasionnellement », analyse la présidente d’Orpi.
Quant au budget, 1 personne interrogée sur 3 affirme disposer d’un budget pouvant aller jusqu’à 200.000 € pour l’acquisition de leur résidence secondaire. « Preuve que ces porteurs de projets considèrent la résidence secondaire comme un investissement important », estime Christine Fumagalli.
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