SNCF : 500 000 billets à prix cassés valables jusqu’à la Toussaint

Par Jean-Baptiste Giraud | Mis à jour le 02/09/2020 à 15:55

On le sait, la SNCF souffre d'une baisse de la fréquentation plus que conséquente, depuis le confinement. Pour tenter d'améliorer le remplissage de ses rames, la compagnie ferroviaire lance une énième opération promotionnelle, avec des billets de train à partir de 19 €.

Des billets de train à 19 € pour la Toussaint, c’est possible

Des billets de train en promo pour les vacances de la Toussaint

500 000 billets de train bradés, mis en vente seulement pendant 48 heures. C'est le pari audacieux de la SNCF, qui a mis en vente depuis mercredi 2 septembre, 6 heures du matin, des billets de train Ouigo, à partir de 19 €. Les connaisseurs seront étonnés peut-être du prix, puisqu'il est supérieur aux prix super discountés pratiqués sur certaines lignes : 10 € ! Seulement ces billets à 19 €, eux, sont proposés sur des jours, et à des heures, pour lesquels il n'y a pas, justement, de tarifs promotionnels, ou très rarement.

Or, comme les billets de train en question sont proposés jusqu'au 2 novembre, cela veut dire qu'un certain nombre sont utilisables pendant les vacances de la Toussaint, qui débutent le 17 octobre, et s'achèvent le 2 novembre. En particulier, on peut trouver des billets à 2 euros pour les vendredis, et les dimanches soir.

Les billets demeurent annulables et remboursables sans frais

Les TGV Ouigo déservent une quarantaine de destinations, dont Lyon, Lille, Marseille, Montpellier, Bordeaux, Toulouse, Strasbourg, Rennes, ou encore Nantes. Autre avantage, ces billets, même bradés, sont éligibles à la promesse de remboursement et d'annulation sans frais faite par la SNCF, et qui est prolongée jusqu'à la fin novembre, toujours à cause du coronavirus.

En effet, la compagnie ferroviaire préfère permettre à ses passagers d'annuler ou reporter sans frais leurs billets, plutôt qu'ils ne voyagent malgré tout, mais malades, ou susceptibles de l'être. De même, pas question de prendre en otage des passagers qui ne pouraient plus se rendre à leur destination, toujours à cause du coronavirus, entre autres causes possibles...